Cahuzac (Lot-et-Garonne)
Cahuzac | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Testut 2020-2026 |
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Code postal | 47330 | ||||
Code commune | 47044 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
310 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 39′ 39″ nord, 0° 33′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 144 m |
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Superficie | 8,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Val du Dropt | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Cahuzac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe du département de la Dordogne. Le village est situé sur un éperon rocheux dominant la vallée du Dropt.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Cahuzac est limitrophe de cinq autres communes dont une dans le département de la Dordogne. Les communes limitrophes sont Plaisance, Castillonnès, Douzains, Lalandusse et Saint-Quentin-du-Dropt.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cancon à 14,76 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cahuzac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (38,5 %), prairies (9,3 %), zones urbanisées (3,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Cahuzac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Dropt et la Douyne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2021[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[17]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Le château de Cahuzac fut édifié à partir du XIIIe siècle par la famille de Caumont, et fut probablement précédé par une fortification en bois. Transmis par mariage à la famille d’Estissac au début du XVIe siècle.
Jean Madaillan d'Estissac est le fils de Lancelot de Madaillan-Lesparre (mort avant 1462) et de Jeanne d'Estissac (morte en ). Il est baron de Cahuzac et a réuni les seigneuries de ses parents et de son oncle Amaury d'Estissac.Il a été chambellan du duc de Guyenne, frère de Louis XI. Sa fidélité au duc de Guyenne lui a valu la confiscation de toutes ses terres en Poitou qui lui ont été rendues par Louis XI en 1473. Louis XI lui a accordé des lettres de légitimation en 1478. Il fait son testament le dans le château de Lauzun appartenant à son neveu, Jean de Caumont. Il cite ses deux femmes, Françoise de La Brousse et Jeanne de Vivonne. Il ne semble pas avoir eu d'enfants de sa seconde femme. De Françoise de La Brousse, il a eu Bertrand de Madaillan d'Estissac, baron de Cahuzac et sénéchal d'Agenais, Anne de Madaillan d'Estissac et Geoffroy de Madaillan d'Estissac qui a été évêque de Maillezais en 1518, abbé de Celles et abbé de Cadouin en 1515, prieur de Ligugé en 1503, protonotaire du Saint-Siège et doyen du chapitre de Saint-Hilaire-le-Grand de Poitiers en 1505. Rabelais, protégé de Geoffroy d'Estissac est venu au château pour s'y reposer. Rabelais cite Cahuzac dans Le Quart Livre, au chapitre LII (lire en ligne). À la mort de Bertrand d'Estissac, son fils aîné Louis de Madaillan d'Estissac (mort en 1565) a été l'héritier universel. Son frère, Arnaud ou Arnold de Madaillan d'Estissac a été abbé de Celles, et son autre frère, Jean d'Estissac a été prieur de Ligugé et doyen de Saint-Hilaire-le-Grand. Sa sœur, Jeanne de Madaillan d'Estissac, s'est mariée en 1523 avec Louis de Bideran.
Louis de Madaillan d'Estissac a épousé en premières noces, en 1527, Antoinette de Daillon, fille de Jacques de Daillon, comte du Lude. Louis d'Estissac est baron de Cahuzac, de Montclar, d'Estissac, de Benet, de Bois-Pouvreau, de Coulonges les Royaux,...gentilhomme ordinaire du roi, lieutenant général du roi en Saintonge, de la ville et gouvernement de La Rochelle entre 1548 et 1558. Il a fait construire la citadelle de La Rochelle sur ordre du roi. Il a été ensuite lieutenant général du roi en Poitou. Après la mort de sa femme, en 1565, il s'est remarié avec Louis de La Béraudière, demoiselle de Rouet, fille de Louis de La Béraudière, seigneur de Sourches, de Rouet, marquis de Lisle-Jourdain, et de Louis de La Guiche. De son premier mariage il a eu trois filles. De ce second mariage, il a eu Charles de Madaillan d'Estissac, dernier descendant mâle de cette branche de la famille, tué au cours d'un duel en , et Claude de Madaillan d'Estissac, mariée le avec François IV de La Rochefoucauld, prince de Marcillac, héritière de son frère[21]. François V de La Rochefoucauld est leur fils aîné, il est le père de François de La Rochefoucauld[22].
La baronnie de Cahuzac est passée à la famille de La Rochefoucauld au XVIIe siècle, il fut vendu au début du XIXe siècle à la famille de Bony, acquis ensuite par la famille de Carbonnier, puis par la famille de Montbron. Le château est propriété de la famille Delpit depuis 1925.
La fortification était destinée à protéger la vallée du Dropt, voie d’invasion ; le château se retrouva engagé dans les conflits de la guerre de Cent Ans (dans le camp anglais) puis dans les guerres de religion du côté des protestants ; pendant ces périodes, il abrita près de 150 hommes d’armes !
À travers les siècles, des personnages illustres fréquentèrent le château : Rabelais, Henri de Navarre, le duc de La Rochefoucauld…
Le château se situe à la pointe ouest du village actuel de Cahuzac, sur un éperon rocheux dominant la vallée du Dropt. Le village était situé près du cimetière autour de son église, démolie au XVIIIe siècle. La plupart des maisons du « vieux Cahuzac » furent édifiées sur les ruines d’une partie du château dans les années 1660/1680 (quelques maisons portent au-dessus de la porte d’entrée la date de leur construction).
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]En , la commune québécoise de Trois-Pistoles se jumelle avec l'association « Rive du Dropt » qui regroupe sept communes françaises de la Dordogne et de Lot-et-Garonne, dont Cahuzac[23].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 310 habitants[Note 2], en évolution de +2,99 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'année démographique où il y a eu le maximum d'habitants était en 1793 avec 685 habitants et l'année démographique où il y a eu le minimum d'habitants était en 1975 avec 214 habitants.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Martin
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin est l'ancienne chapelle castrale du château de Cahuzac[28]. Elle a été inscrite au titre des monuments historiques en 2012[29].
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L'église en 2014 avant sa rénovation.
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L'église en 2024.
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La nef.
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La nef côté porche.
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Une des fresques mise au jour sous les enduits.
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Détail de vitraux.
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Chemin de croix - 5e station.
Châteaux
[modifier | modifier le code]De l'ancien château de Cahuzac[30] subsistent encore :
- deux tours du XIIIe siècle ;
- une enceinte ;
- un corps de bâtiment comprenant une cave voûtée (XIIIe siècle) surmontée de trois grandes salles d’environ 80 m2 chacune (XVe siècle) ;
- le bâtiment de l’ancien couvent (XVe siècle),
- la chapelle du château (fin du XVe siècle), actuelle église Saint-Martin, a été donnée au village en 1771, probablement à la suite de la démolition de l’ancienne église.
Château de Saint-Surin.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Cahuzac et Cancon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Cahuzac ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Cahuzac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cahuzac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Maurice Campagne, Histoire de la maison de Madaillan (1076-1900), Imprimerie générale du Sud-Ouest, Bergerac, 1900, p. 197-255 (lire en ligne)
- Père Anselme, Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, des Pairs, grands officiers de la Couronne et de la Maison du roy et des anciens barons du royaume, Firmin Didot Frères, fils et Cie, Paris, 1868, tome 4, p. 396 (lire en ligne)
- Violette Rausa, « La commune est jumelée avec le Québec », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Historique de l'église Saint-Martin de Cahuzac.
- « Eglise Saint-Martin », notice no PA47000082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Hubert Delpit, Le château de Cahuzac et ses seigneurs, p. 41-68, Revue de l'Agenais, juillet-septembre 2010, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de Lot-et-Garonne
- Sentier de grande randonnée GR 636
- Sentier de grande randonnée GR 654
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :